Investissement immobilier locatif à cashflow : étapes essentielles

编者按
  • Article rédigé par Mickaël ZONTA
  • 总裁,Investissement-Locatif.com。
Temps de lecture 10 minutes Publié le vendredi 24 janvier 2025
Sommaire
Étape 1 : Comprendre les bases du cashflow immobilier
Étape 2 : Calculer précisément le cashflow immobilier
Étape 3 : Comment optimiser son cashflow ?
Étape 4 : Choisir les biens et emplacements stratégiques
Étape 5 : Surveiller et ajuster régulièrement son cashflow
Étape 6 : Réinvestir pour maximiser les gains
Comment réussir son investissement locatif à cashflow positif ?
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L'investissement immobilier locatif à cashflow permet une rentabilité durable et une sécurité financière. Le cashflow immobilier est le solde net entre les revenus locatifs perçus (loyers) et les dépenses liées au bien (remboursements d'emprunts, charges, impôts). Ce concept est un indicateur important de la santé financière du projet. 

Un cashflow excédentaire permet d’autofinancer le bien tout en générant un revenu complémentaire. Il limite les risques financiers en cas d’imprévus. Le rendement brut ou à la rentabilité nette, quant à lui mesure la performance globale de l’investissement. Le cashflow se concentre sur les flux de trésorerie réels. Cela rend son analyse plus concrète et opérationnelle.

Quelles sont les étapes essentielles pour atteindre un cashflow positif ? Comment calculer avec précision votre cashflow ? Comment optimiser les revenus et réduire les coûts ? Quelles sont les stratégies de réinvestissement pour optimiser vos bénéfices ? Les explications sont dans cet article.

Étape 1 : Comprendre les bases du cashflow immobilier

Cashflow vs rentabilité locative

Il faut comprendre la différence entre le cashflow et la rentabilité locative pour évaluer la viabilité d’un projet immobilier.

Le cashflow représente le solde mensuel ou annuel en euros, obtenu après déduction de toutes les charges des revenus locatifs. Il s'agit du crédit immobilier, des charges d’exploitation et des taxes.

À l’inverse, la rentabilité locative, exprimée en pourcentage, mesure le rapport entre les revenus générés et le prix d’achat du bien.

La rentabilité brute et nette se focalisent sur une vision globale et à long terme. Elle prend en compte des paramètres comme les frais de notaire ou les taxes foncières.

Le cashflow est plus concret et immédiat. Il donne une image mensuelle de la trésorerie disponible. Il permet par ailleurs une gestion financière dynamique.

Pourquoi le cashflow doit être une priorité ?

Un cashflow positif garantit la pérennité d’un investissement immobilier. En particulier dans un contexte économique incertain.

Anticiper les imprévus

Des travaux imprévus, des périodes de vacance locative ou des hausses de charges peuvent grever les finances d’un propriétaire. Un cashflow excédentaire permet de couvrir ces aléas sans recourir à l’épargne personnelle.

Évaluer l’autofinancement

L’analyse du cashflow aide à déterminer si un projet peut s’autofinancer ou s’il nécessite un apport personnel. Cela comblera un déficit de trésorerie. La stratégie pourra être ajustée en amont, comme négocier un meilleur crédit ou optimiser les charges.

Viser un cash flow positif est une approche prudente et pragmatique face à l’incertitude économique. La sécurisation des flux de trésorerie prime sur des gains potentiels à long terme.

Maîtriser les bases du cashflow immobilier posera les fondations d’un investissement locatif réussi et durable.

Étape 2 : Calculer précisément le cashflow immobilier

Formule simple pour calculer le cashflow

Le calcul du cashflow immobilier repose sur une formule accessible :

Cashflow = Revenus locatifs - Dépenses

Ce résultat donne le solde disponible après avoir couvert toutes les charges liées au bien immobilier. Ce montant peut être positif (excédentaire) ou négatif (déficitaire). Voici comment chaque élément est déterminé :

Revenus locatifs

Les loyers perçus sont les revenus mensuels générés par la location du bien. Dans certains cas, une partie des charges peut être refacturée au locataire, selon le régime de location choisi (meublé ou vide). Il s'agit de l'eau, de l'entretien des parties communes, etc.

Dépenses liées au bien :

  • les mensualités du crédit immobilier comprennent le remboursement du capital et des intérêts,

  • l’assurance emprunteur et l’assurance propriétaire non occupant (PNO) sont incontournables,

  • la taxe foncière est une charge annuelle qui doit être lissée sur 12 mois pour un calcul précis,

  • certaines charges non récupérables chez le locataire doivent être intégrées, si le bien fait partie d’une copropriété,

  • les frais de gestion locative doivent être pris en compte en cas de délégation de la gestion du bien à une agence, 

  • prévoyez une réserve pour les petites réparations ou rénovations nécessaires.


Prenons un cas simple pour illustrer le calcul :

Revenus mensuels :

Loyer perçu : 500 €.

Charges refacturées : 50 €.

Total revenus : 550 €.

Dépenses mensuelles :

Mensualités du crédit : 450 €.

Taxe foncière (proratisée) : 50 €.

Assurance emprunteur et PNO : 30 €.

Total dépenses : 530 €.

Cashflow :

550 € (revenus) - 530 € (dépenses) = +20 €.

Un calcul précis permet de :

Valider la faisabilité financière

Vous pouvez déterminer si le projet génèrera un excédent ou nécessitera un effort financier supplémentaire, avant d’acquérir un bien.

Anticiper les fluctuations

Vous évaluez l’impact potentiel sur votre trésorerie, en ajustant les hypothèses. Il s'agit de la hausse des taux d’intérêt et des travaux imprévus.

Optimiser votre stratégie

Un cashflow positif dès l’achat permet de constituer une réserve financière ou de réinvestir dans de futurs projets immobiliers.

Un cashflow légèrement positif, même modeste comme dans notre exemple (+20 €), est déjà un signe encourageant. Il garantit que le bien s’autofinance et limite le risque de dépendance à vos revenus personnels. Viser un excédent plus conséquent reste toutefois conseillé pour se prémunir contre les imprévus.

Étape 3 : Comment optimiser son cashflow ?

La réduction des dépenses, l’augmentation des revenus et l’optimisation fiscale permettent d’optimiser le cashflow.

Diminuer les dépenses

Renégociation des crédits immobiliers

Une renégociation ou un rachat de crédit peut réduire vos mensualités.

Passer d’un taux d’intérêt de 3,5 % à 2,5 % sur un emprunt de 200 000 € peut réduire vos mensualités de 10 %. Soit une économie annuelle d’environ 1 200 €.

Il est aussi possible d’opter pour un allongement de la durée du crédit pour alléger les charges mensuelles. Mais cela augmentera le coût global.

Optimisation des assurances

Les assurances liées à votre bien et à votre prêt représentent souvent une dépense sous-estimée.

Assurance emprunteur

Passer à une délégation d’assurance peut générer des économies significatives, jusqu’à 50 € par an ou plus.

Assurance PNO (Propriétaire Non Occupant)

Comparez les offres pour réduire vos coûts sans sacrifier la couverture essentielle.

Travaux ciblés et stratégiques

Réaliser des travaux doit répondre à deux objectifs : augmenter la valeur locative ou se conformer aux normes (notamment énergétiques).

Concentrez vos efforts sur des rénovations à fort impact, comme l’isolation. Ils peuvent réduire les charges pour le locataire et justifier une augmentation de loyer.

Augmenter les revenus

Hausse des loyers grâce aux travaux

Il est possible de justifier une augmentation de loyer si vous modernisez un logement ou si vous l'adaptez aux nouvelles attentes des locataires (équipements modernes, espaces optimisés). Cette pratique doit toutefois respecter les plafonds légaux et les indices d’augmentation en vigueur.

Passage à la location meublée

La location meublée est une solution efficace pour augmenter vos revenus locatifs. Un logement meublé peut générer 10 à 20 % de revenus supplémentaires par rapport à une location nue. La demande pour des biens meublés est par ailleurs, souvent plus forte dans les zones étudiantes ou urbaines.

Diversification des revenus locatifs

Envisagez des stratégies alternatives comme la location saisonnière (Airbnb, Booking). Elles peuvent offrir des revenus plus élevés, surtout dans les zones touristiques ou à forte affluence.

Optimiser la fiscalité

Le statut LMNP

Le statut LMNP (Loueur en Meublé Non Professionnel) permet de déduire les charges réelles. Ce sont les frais de gestion, les travaux et les intérêts d’emprunt. Il peut aussi amortir le bien immobilier et le mobilier. Cela réduira votre base imposable.

Choisir le régime réel pour les locations nues

Le régime réel est souvent plus avantageux que le régime micro-foncier si vos charges annuelles dépassent 50 % des revenus locatifs. Ce régime permet de déduire les charges réelles, comme :

  • les intérêts d’emprunt,

  • la taxe foncière

  • les frais de gestion.

Il peut aussi réduire votre imposition.

Étape 4 : Choisir les biens et emplacements stratégiques

Le choix du bien et de son emplacement garantissent un cashflow positif et un investissement locatif pérenne. 

Critères à privilégier pour l’emplacement

Prix d’achat attractif

Un coût faible par rapport aux revenus locatifs potentiels permet de limiter le montant emprunté et les mensualités de crédit. Il peut aussi augmenter le rendement brut.

Forte demande locative

Investir dans des zones dans lesquelles la demande locative est élevée garantit une occupation continue du bien. Les villes étudiantes, les quartiers proches des zones d’emploi ou les destinations touristiques sont très prisées.

Villes moyennes à fort rendement locatif

Certaines villes moyennes offrent un excellent compromis entre prix d’achat abordables et demande locative dynamique.

Un studio acheté 50 000 € à Saint-Etienne peut générer un rendement brut de 10 % grâce à un loyer mensuel de 400 à 450 €.

Le rendement moyen à Mulhouse est de 8 à 10 %), à Limoges il est de 8 %.

Types de biens adaptés

Studios et T2 pour étudiants

Les petites surfaces, comme les studios et les T2, sont idéales dans les villes universitaires. Ces biens, moins coûteux à l’achat et faciles à louer, séduisent les étudiants qui recherchent des logements fonctionnels et bien situés.

Colocations pour jeunes actifs

La colocation est une solution en forte demande dans les grandes agglomérations et les villes dynamiques. Elle permet de louer un bien plus grand (T4 ou T5) à des loyers cumulés souvent supérieurs à celui d’un locataire unique.

Un T4 loué en colocation à 4 jeunes actifs peut rapporter 30 à 40 % de revenus locatifs supplémentaires par rapport à une location classique.

Résidences meublées (LMNP)

Le statut LMNP s’adapte aux biens situés dans des zones touristiques ou étudiantes.

Des studios ou T2 meublés dans des villes touristiques comme Nice ou Annecy peuvent générer des revenus locatifs saisonniers élevés grâce à la location courte durée.

Les logements meublés proches des campus universitaires sont aussi très recherchés. Ils offrent des revenus supérieurs de 10 à 20 % par rapport à la location nue.

Facteurs à analyser avant l’achat

Étude de marché locale

Analysez le prix moyen au mètre carré et les loyers pratiqués dans le quartier ciblé. Vérifiez également les taux de vacance locative pour éviter les zones où la demande est faible.

Proximité des commodités

Un bien proche des transports en commun, des écoles, des commerces et des centres d’affaires attire davantage de locataires.

Potentiel de valorisation

Investir dans des quartiers en pleine mutation ou qui bénéficient de projets d’aménagement urbain peut offrir un double avantage. Les revenus locatifs sont intéressants et il y aura une plus-value potentielle à la revente.

Étape 5 : Surveiller et ajuster régulièrement son cashflow

Un investissement immobilier locatif n'est pas un processus figé. Une gestion active et régulière maintient un cashflow positif et prévient les imprévus. Cette étape consiste à :

  • analyser les performances financières du bien,

  • identifier les anomalies,

  • ajuster les stratégies en conséquence.

Pourquoi surveiller son cashflow ?

Détecter rapidement les anomalies

Une vacance locative prolongée, une hausse imprévue des charges ou des travaux urgents peuvent fortement impacter le cashflow. Il peut s'agir du remplacement d’une chaudière ou une mise aux normes énergétiques. Il faudra surveiller régulièrement les flux financiers pour intervenir rapidement et limiter les pertes.

S’assurer de l’équilibre financier

Les dépenses annuelles importantes peuvent déséquilibrer votre trésorerie si elles ne sont pas anticipées. Elles concernent la taxe foncière ou les frais de copropriété exceptionnels. Une gestion proactive permet de les intégrer dans le budget global.

Planifier les réinvestissements

Vous pouvez identifier des excédents à réinvestir dans de nouveaux projets immobiliers ou des travaux d’amélioration si vous surveillez de près votre cashflow. Vous garantirez aussi une réserve suffisante pour couvrir les imprévus.

Planification des flux financiers

Prévoir les dépenses à l’avance

La taxe foncière, souvent payée en une fois, peut représenter l’équivalent d’un mois de loyer. Planifier cette dépense dès le début de l’année évite un déséquilibre temporaire. Les autres dépenses à prévoir sont les travaux de maintenance, le remplacement d’équipements et les primes d’assurances annuelles.

Constituer une épargne de sécurité

Il est conseillé de maintenir une réserve équivalente à 6 mois de dépenses courantes pour anticiper un coup dur. Comme une période de vacance locative ou une réparation coûteuse. Cette épargne peut aussi servir à couvrir les mensualités de crédit en cas de baisse temporaire des revenus locatifs.

Outils pratiques pour une gestion simplifiée

 

Outils pratiques

Description

Fonctionnalités clés

Applications de gestion locative

Solutions comme Rentila, Locagestion ou Smartloc pour centraliser les informations financières liées à votre investissement locatif.

- Suivi automatique du cashflow
- Alertes pour les échéances fiscales et administratives
- Génération de documents administratifs (reçus de loyer, quittances)
- Gestion des travaux et des charges

Tableaux Excel automatisés

Outil personnalisé pour une vision détaillée et adaptée à vos besoins financiers.

- Suivi des revenus mensuels (loyers, charges refacturées)
- Gestion des dépenses récurrentes (mensualités de crédit, assurances)
- Planification des dépenses exceptionnelles (travaux, taxe foncière)
- Calcul du solde mensuel et annuel du cashflow

 

Ajuster les stratégies en fonction des résultats

Analyser les performances périodiques

Comparez les résultats financiers réels avec les prévisions initiales pour identifier les écarts significatifs. Identifiez les causes principales si le cashflow diminue. Il peut s'agir de la hausse des charges, la baisse des loyers ou la vacance locative.

Prendre des mesures correctives

Réévaluez le niveau de loyer ou améliorez l’attractivité du bien (travaux, mobilier) en cas de vacance locative fréquente. Renégociez les contrats (assurances, gestion locative) ou optimisez les dépenses d’entretien, si les charges augmentent.

Étape 6 : Réinvestir pour maximiser les gains

Réinvestir les excédents générés par un cashflow positif peut accélérer la création de patrimoine et optimiser les gains à long terme. Cette approche est souvent appelée cercle vertueux de l’investissement immobilier. Elle repose sur une utilisation optimisée des profits pour financer de nouveaux projets ou améliorer les investissements existants.

Le cercle vertueux du cashflow

Réinvestir dans un nouveau bien locatif

Un cashflow positif, même modéré, peut constituer une base pour financer l’achat d’un autre bien. Les excédents peuvent être épargnés pour constituer un apport personnel. Les revenus locatifs réguliers quant à eux renforcent votre dossier auprès des banques. Ils augmentent vos chances d’obtenir un second prêt.

Un bien qui génère un cashflow positif de 200 €/mois peut permettre d’économiser 12 000 € sur 5 ans. Il couvre une partie des frais d’acquisition du prochain investissement.

Diversifier géographiquement pour limiter les risques

Réinvestir dans différentes zones géographiques permet de réduire votre exposition à des risques locaux. Cela peut être une baisse de la demande locative ou une réglementation restrictive dans une région donnée.

Vous pourriez cibler une ville moyenne à haut rendement (Saint-Étienne, Mulhouse) pour le second achat, si votre premier bien est situé dans une grande ville à forte demande (Paris, Lyon),

Utiliser le TRI (taux de rendement interne) pour orienter vos décisions

Le taux de rendement interne (TRI) est un indicateur avancé qui vous aide à évaluer la rentabilité globale de votre investissement en prenant en compte :

  • les cashflows cumulés,

  • les éventuelles valorisations du bien,

  • le moment optimal pour revendre et réinvestir.

Pourquoi le TRI est essentiel ?

Il offre une vision à long terme. Il intègre l’ensemble des flux financiers (entrées et sorties). Il aide aussi à comparer plusieurs investissements, même s’ils ont des structures de financement différentes.

Un appartement acheté 100 000 € avec un cashflow positif de 200 €/mois et une revente possible à 120 000 € après 5 ans peut présenter un TRI supérieur à 10 %. Bien que le rendement locatif brut soit de 7 %. Ce calcul vous permettra de décider si vous devez conserver le bien ou utiliser les gains pour financer un projet plus rentable.

Investir dans l’amélioration des biens existants

Si l’achat d’un nouveau bien n’est pas immédiatement envisageable, une autre option consiste à réinvestir les excédents dans l’amélioration de vos biens existants. Les rénovations énergétiques permettent de bénéficier de meilleures performances énergétiques et de justifier une augmentation des loyers.

Les aménagements attractifs peuvent augmenter les revenus de 10 à 20 %. Comme passer d’une location nue à une location meublée.

La mise en location saisonnière dans des zones touristiques, génère des revenus potentiellement supérieurs à une location classique.

Les avantages du réinvestissement immobilier

Effet de levier accru

En réinvestissant les gains dans de nouveaux projets, vous utiliserez les excédents pour augmenter votre patrimoine. Votre risque financier n'augmentera pas pour autant.

Croissance exponentielle du cashflow

Chaque bien ajouté à votre portefeuille génère des revenus supplémentaires. Ils pourront à leur tour être réinvestis.

Optimisation fiscale

L’accumulation de biens permet de profiter d’effets de seuil dans certains régimes fiscaux (comme le statut LMNP). Les charges déductibles augmenteront avec la taille de votre patrimoine.

Comment réussir son investissement locatif à cashflow positif ?

Réaliser un investissement locatif à cashflow positif est un objectif ambitieux. Il est parfaitement atteignable avec une méthode rigoureuse et une préparation adéquate. Les étapes essentielles à suivre constituent les fondations d’une stratégie réussie. Il faudra comprendre et calculer son cashflow, optimiser les dépenses et les revenus, ou encore sélectionner les biens stratégiquement.

La surveillance régulière des flux financiers et l’utilisation des excédents pour réinvestir permettent de bâtir un cercle vertueux pour augmenter son patrimoine. Chaque étape est une opportunité de renforcer la rentabilité de votre projet. 

Vous réduirez vos charges si vous maîtrisez vos dépenses grâce à une renégociation de crédit ou une fiscalité optimisée. Bien choisir l’emplacement et le type de bien garantit une demande locative stable et des revenus pérennes. Les imprévus pourront aussi être anticipés avec une bonne planification. Il s'agit des travaux ou des périodes de vacance. 

Réussir un investissement locatif à cashflow positif ne dépend pas seulement des chiffres, mais aussi de votre volonté de passer à l’action.  Vous pouvez transformer une simple idée en un projet rentable et durable avec une approche réfléchie et un engagement constant.  Atteindre un cashflow positif est à la portée de tout investisseur bien préparé. Il faudra de la motivation et les bons outils. 

 

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